retour au tissage
Iran,
La répression
fait des victimes,
à ce jour 100
villes sont touchées
par la répression du gouvernement.
Au fil des semaines,
le manque à gagner
s'accumule.
Au gré du temps des employés ont démissioné
Bordeaux, 15 ème samedi de mobilisation, 5000 personnes entrent en fusion
Marseille,
au centre ville ou ailleurs il n'y a plus personne,
A l'extérieur surtout, le calme règne
Paris, sur audio des détails.
Autour de nous le bruit.
Hong Kong,
Arrivés dans un ferry ou dans un train,
la police les contraint.
L’itinéraire autorisé ne peut être contourné.
Chili,
Des boucliers se dressent,
tôt ce samedi les gens s'amassent.
En Égypte, plus de 2 300 personnes ont été interpellées pour avoir pris part à des manifestations au mois de septembre.
2019
MANIFESTATIONS AUX QUATRE COINS DU MONDE
Liban,
les manifestations se sont prolongées sur une longue période malgré les répressions policières, alors que dans d’autres pays les contestations ont été rapidement réprimées à l’aide de méthodes comme les arrestations massives.
Au Liban, l’un des principaux cris de ralliement pour la démission du gouvernement – et plus largement le renouvellement de la classe politique – concerne la corruption présumée du gouvernement et son incapacité à réaliser les droits sociaux et économiques élémentaires.
En France, c’est également une nouvelle taxe sur les carburants qui est à l’origine du mouvement des « gilets jaunes » et des nombreux samedis de mobilisation qui ont suivi.
Au Chili, les étudiants ont lancé des manifestations lorsque le gouvernement a annoncé une augmentation du prix des transports à Santiago, la capitale du pays.
En Equateur les inquiétudes légitimes de la population face à l’augmentation du coût de la vie sont aggravées
en Bolivie, de plus en plus de citoyens descendent dans les rues pour exprimer leur mécontentement quant à la manière dont leurs dirigeants font face à cette crise.
Ce mois-ci, nous assistons à des mobilisations et manifestations massives à Barcelone et dans toute la Catalogne
En Inde, des manifestations ont éclaté après que le gouvernement indien a pris la décision unilatérale de révoquer l’article 370 de la Constitution
Hong Kong est le théâtre d’une contestation liée aux libertés politiques sans doute parmi les plus étendues et les plus soutenues cette année.
Les Hongkongais ont déferlé dans les rues
En Albanie, , la corruption est à l'origine des mouvements antigouvernementaux
En Equateur, une grève générale paralyse le pays.
En Bolivie, des allégations de fraude électorale lors des élections générales ont déclenché des manifestations de masse anti et pro-Morales.
En Irak, le Premier ministre Adil Abdul-Mahdi a démissionné sous l'impulsion de manifestations de masse contre la corruption et l'inefficacité des services publics.
L'Algérie a été l'épicentre des manifestations dans le Maghreb.
En Inde, début décembre, une loi est votée qui modifie les modalités d'accès à la nationalité indienne pour les immigrants illégaux : elle exclut notamment les réfugiés de confession musulmane et déclenche des manifestations qui perdurent depuis et où plus de 25 personnes ont perdu la vie.
Comme en Iran, le gouvernement a eu recours à un couvre-feu et à une coupure d'internet.
Aux Etats-Unis, les femmes ont réitéré, en janvier, leur opposition à Donald Trump pour le deuxième anniversaire de son investiture, mouvement devenu manifestation pour ces femmes.
Le même mois, en Equateur, des milliers de manifestants ont marché dans les rues de Quito pour protester contre les violences faites aux femmes.
Toujours en Espagne, les mouvements féministes ont été particulièrement actifs cette année et ont manifesté contre les suites judiciaires données à une affaire de viol collectif ou contre les violences conjugales et féminicides
Chili,
Le président conservateur Sebastian Piñera a annoncé samedi 26 octobre un vaste remaniement. Une grève générale a commencé le 23 octobre. Pour l'heure, elle est maintenue.
Beyrouth
Le gouvernement de Saad Hariri a rapidement annulé la mesure et annoncé des réformes économiques d'urgence. Mais le mouvement de contestation, réclamant le départ de l'ensemble de la classe politique, continue de grandir du nord au sud du pays, provoquant sa quasi-paralysie.
La Paz, Plusieurs régions sont le théâtre de violents incidents. Le 23 octobre une grève générale a débuté à Santa Cruz, capitale économique et bastion de l'opposition, avant de s'étendre. Le dirigeant socialiste, qui avait qualifié le mouvement de «coup d'Etat», a revendiqué la victoire le 24.
Des blessés dans des affrontements entre partisans et détracteurs d'Evo Morales.
Quito, Après 12 jours de manifestations, un accord a été conclu entre le mouvement indigène, fer de lance de la contestation, et le président Lenin Moreno, qui a retiré le décret controversé.
Huit morts et 1340 blessés.
Ethiopie, Des centaines de manifestants sont descendus dans la rue pour manifester contre le premier ministre et récent prix Nobel de la paix, Abiy Ahmed, accusé par l'opposant Jawar Mohammed de préparer une attaque contre lui.
Les violences ont d'abord éclaté dans la capitale, Addis Abeba, avant de se répandre dans la région d'Oromia. A l'origine dirigées contre Abiy Ahmed, elles se sont ensuite transformées en affrontements ethniques.
Les manifestations rassemblant des milliers de Guinéens se succèdent à l'appel du Front national pour la défense de la constitution (FNDC), coalition de partis d'opposition, de syndicats et de membres de la société civile.
La rue veut, elle, une nouvelle Constitution et un renouvellement total de la classe politique.
Vendredi, la contestation a repris, avec une nouvelle flambée de violences, attisée par le leader chiite Moqtada Sadr.
Plus de 150 morts la première semaine. Plus de 40 morts pour la seule journée de vendredi.
En six jours, près de 600 personnes ont été blessées et plus de 200 interpellations ont eu lieu. De nouvelles manifestations doivent avoir lieu ce week-end à Barcelone.
En Algérie, la décision du président Abdelaziz Bouteflika de briguer un 5e mandat a provoqué une vague de manifestations pacifiques le 22 février.
Ce mois-ci, nous assistons à des mobilisations et manifestations massives à Barcelone et dans toute la Catalogne
En Algérie, la décision du président Abdelaziz Bouteflika de briguer un 5e mandat a provoqué une vague de manifestations pacifiques le 22 février.
en Bolivie, de plus en plus de citoyens descendent dans les rues pour exprimer leur mécontentement quant à la manière dont leurs dirigeants font face à cette crise.
Les violences ont d'abord éclaté dans la capitale, Addis Abeba, avant de se répandre dans la région d'Oromia. A l'origine dirigées contre Abiy Ahmed, elles se sont ensuite transformées en affrontements ethniques.
L'Algérie a été l'épicentre des manifestations dans le Maghreb.
Paris, sur audio des détails.
Autour de nous le bruit.
Au Chili, les étudiants ont lancé des manifestations lorsque le gouvernement a annoncé une augmentation du prix des transports à Santiago, la capitale du pays.
Bordeaux, 15 ème samedi de mobilisation, 5000 personnes entrent en fusion
En Equateur, une grève générale paralyse le pays.
Comme en Iran, le gouvernement a eu recours à un couvre-feu et à une coupure d'internet.
Aux Etats-Unis, les femmes ont réitéré, en janvier, leur opposition à Donald Trump pour le deuxième anniversaire de son investiture, mouvement devenu manifestation pour ces femmes.
Toujours en Espagne, les mouvements féministes ont été particulièrement actifs cette année et ont manifesté contre les suites judiciaires données à une affaire de viol collectif ou contre les violences conjugales et féminicides
La Paz, Plusieurs régions sont le théâtre de violents incidents. Le 23 octobre une grève générale a débuté à Santa Cruz, capitale économique et bastion de l'opposition, avant de s'étendre. Le dirigeant socialiste, qui avait qualifié le mouvement de «coup d'Etat», a revendiqué la victoire le 24.
Vendredi, la contestation a repris, avec une nouvelle flambée de violences, attisée par le leader chiite Moqtada Sadr.
En six jours, près de 600 personnes ont été blessées et plus de 200 interpellations ont eu lieu. De nouvelles manifestations doivent avoir lieu ce week-end à Barcelone.
Beyrouth
Le gouvernement de Saad Hariri a rapidement annulé la mesure et annoncé des réformes économiques d'urgence. Mais le mouvement de contestation, réclamant le départ de l'ensemble de la classe politique, continue de grandir du nord au sud du pays, provoquant sa quasi-paralysie.
Chili,
Le président conservateur Sebastian Piñera a annoncé samedi 26 octobre un vaste remaniement. Une grève générale a commencé le 23 octobre. Pour l'heure, elle est maintenue.
Quito, Après 12 jours de manifestations, un accord a été conclu entre le mouvement indigène, fer de lance de la contestation, et le président Lenin Moreno, qui a retiré le décret controversé.
Hong Kong,
Arrivés dans un ferry ou dans un train,
la police les contraint.
L’itinéraire autorisé ne peut être contourné.
Hong Kong est le théâtre d’une contestation liée aux libertés politiques sans doute parmi les plus étendues et les plus soutenues cette année.
En Inde, début décembre, une loi est votée qui modifie les modalités d'accès à la nationalité indienne pour les immigrants illégaux : elle exclut notamment les réfugiés de confession musulmane et déclenche des manifestations qui perdurent depuis et où plus de 25 personnes ont perdu la vie.
Bordeaux, 15 ème samedi de mobilisation, 5000 personnes entrent en fusion
Au Liban, l’un des principaux cris de ralliement pour la démission du gouvernement – et plus largement le renouvellement de la classe politique – concerne la corruption présumée du gouvernement et son incapacité à réaliser les droits sociaux et économiques élémentaires.
Iran,
La répression
fait des victimes,
à ce jour 100
villes sont touchées
par la répression du gouvernement.
En France, c’est également une nouvelle taxe sur les carburants qui est à l’origine du mouvement des « gilets jaunes » et des nombreux samedis de mobilisation qui ont suivi.
En Irak, le Premier ministre Adil Abdul-Mahdi a démissionné sous l'impulsion de manifestations de masse contre la corruption et l'inefficacité des services publics.
Comme en Iran, le gouvernement a eu recours à un couvre-feu et à une coupure d'internet.
La rue veut, elle, une nouvelle Constitution et un renouvellement total de la classe politique.
Chili,
Le président conservateur Sebastian Piñera a annoncé samedi 26 octobre un vaste remaniement. Une grève générale a commencé le 23 octobre. Pour l'heure, elle est maintenue.
En Bolivie, des allégations de fraude électorale lors des élections générales ont déclenché des manifestations de masse anti et pro-Morales.
Chili,
Des bouliers se dressent,
tôt ce samedi les gens s'amassent.
Des blessés dans des affrontements entre partisans et détracteurs d'Evo Morales.
En Equateur, une grève générale paralyse le pays.
Huit morts et 1340 blessés.